Résumé
Découvrez comment utiliser le code Mindbridge de classification des comptes (MAC).
Qu’est-ce que le code Mindbridge de classification des comptes (MAC) ?
MindBridge utilise le code Mindbridge de classification des comptes (MAC) pour classer les comptes uniques et pour déterminer l’impact de chaque compte sur le bilan et les comptes de résultat d’une organisation. Cette hiérarchie à plusieurs niveaux peut mettre en correspondance des comptes dans un large éventail de secteurs, en un système de classification unique et cohérent.
La hiérarchie de codes MAC suit l’Index général des renseignements financiers (IGRF) du Canada, mais avec des codes différents. Cela signifie que les codes IGRF peuvent être utilisés à la place des codes MAC et ne nécessitent pas de remise en correspondance.
- Au plus haut niveau (L1), les comptes sont divisés en grandes catégories telles que les actifs et les passifs.
- Le niveau suivant (L2) se divise en sous-catégories, y compris les actifs actuels et les actifs à long terme.
- Le troisième niveau (L3) sépare les comptes selon leur objectif commercial, tels que compte créditeur et compte débiteur.
- Le niveau le plus bas (L4) applique des détails granulaires aux catégories L3. Ce niveau classe les comptes en fonction de leur finalité spécifique, comme Inventaire des biens à vendre et Inventaire des matières premières.
Exportez le fichier .xlsx joint sous cet article pour obtenir la liste complète des codes MAC.
Mettre en correspondance vos comptes avec MAC
Pour mettre en correspondance des comptes au système MAC, il est plus facile de commencer la mise en correspondance avec les catégories L4. En fonction de votre choix, MindBridge peut déduire ce que sont les catégories L1 à L3 et peut remplir les espaces vides.
La hiérarchie MAC représente un éloignement par rapport au strict respect d’un type de compte spécifique, et vers une classification des comptes. Cette méthode est optimale pour représenter les plans comptables (COA) plutôt que pour représenter des exercices.
Lorsque vous importez un fichier du grand livre général, MindBridge met en correspondance automatiquement vos comptes en fonction des premiers chiffres de chaque numéro de compte :
- 1 - Actifs
- 2 - Passifs
- 3 - Capitaux propres
- 4 - Revenu
- 5-8 - Dépenses
- 0 - Actif fixe
Si une mise en correspondance ne correspond pas à l’étape Mettre en correspondance les colonnes, utilisez le menu déroulantType de compte pour affiner la colonne si nécessaire.
Si les plans comptables n’utilisent pas de système de classification de compte numérique, les comptes peuvent être mis en correspondance selon la mauvaise classification car le premier chiffre est manquant.
Comment les points de contrôle utilisent-ils les codes MAC ?
Avec les codes MAC, MindBridge peut appliquer des points de contrôle à toutes les entreprises et à tous les secteurs de manière cohérente, quelle que soit la structure fonctionnelle de l’organisation.
- Points de contrôle basés sur des règles : Les codes MAC aident MindBridge à détecter quels crédits sont des décaissements, quelles dépenses sont des créances irrécouvrables, et si un pic d’activité est liée ou non à un compte de dépenses.
- Points de contrôle d’apprentissage automatique : Les codes MAC aident MindBridge à analyser minutieusement un ensemble de données et à générer des informations telles que : « Ce compte de dépenses est généralement associé à des diminutions d’inventaire, mais dans ce cas, un compte de dépenses associé à une diminution de trésorerie » (voir notre article Flux financier inhabituel).
- Points de contrôle statistiques : Détecte les informations de surface telles que le nombre de chiffres ou le nombre de comptes dans une transaction, et n’a donc pas besoin de répondre aux codes MAC pour identifier l’article ou la structure sous-jacente de la transaction.
Quel est le degré de flexibilité de la structure MAC ?
La structure MAC est cohérente dans toutes les organisations, quel que soit le secteur, mais les développeurs MindBridge sont en mesure d’ajuster les points de contrôle afin de fournir une valeur cohérente entre les organisations, même si elles ont des structures ou des pratiques comptables différentes.
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